Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

département des hauts de seine - Page 5

  • CANTON DE VANVES/CLAMART : LES ECOLOGISTES A LA RECONQUETE DU SIEGE PERDU

    L’objectif  pour les écologistes est de retrouver leur siége détenu par un clamartois, Vincent Gazeilles  entre 2001 et 2015, qui était bien seul même apparanté au groupe de gauche (PC/PS) avant le découpage cantonal créant ces binômes et même plusieurs autres siéges selon Brice Loe Mie co-secrétaire départemental EELV22 - avec uniquement des candidats écologistes, ou sinon avec d’autres candidats issus de la gauche plurielle (PS- LFI) : A Vanves Clamart, il s’agit de David Huynh (Génération.S) et Adeline Beving (EELV) qui était sur la liste municipale conduire par Pierre Toulouses à Vanves, avec pour Suppléant Christine Genty et Thibault Lejeune, conseiller municipal de Vanves

    La stratégie des écologistes a toujours été de faire confiance aux militants locaux, d’avoir des candidats là où c’est possible. «On n’est plus sur une logique de donner notre logo pour renforcer d’autres groupes politiques, mais positionner partout des candidats et de voir si on peut ou non s’associer» explique le co-secrétaire départemental EELV. «Le coeur de mon engagement porte sur la défense esfemmes et l’égalité entre les femmes et les hommes pour laquelle je me bats depuis longtemps. Les dispositifs soutenant les femmes dans tous les domaines du quotidien et de tous les âges de la vie seront renforcés» explique Adeline Beving (EELV), 38 ans, responsable innovation dans un média de service public. «Pendant cette période de pandémie, les infirmières les caissières, les éboueurs, les professeurs …ont été en première ligne. Je souhaite maintenant que cette reconnaissance s’exprime en facilitant leir accés à un logement abordable proche de leur travail» ajoute Thibault Lejeune, son suppléant vanvéens

    Les écologistes vont faire campagne en écho avec les régionales, dans les Hauts de Seine, pour en faire un département écologique et solidaire : « Dans un département aux mains d’une majorité départementale responsable du scandale des défaillances de l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE), qui ferme des centres de Protection Maternelle et Infantile (PMI), qui n'a pas anticipé la saturation des collèges sur Clamart, menée sur notre canton par un binôme sans vision d’avenir, nous changerons les orientations du Conseil Départemental pour qu'il devienne un acteur social impliqué dans le quotidien des Vanvéens et Clamartois » expliquent ils en reprenant les mêmes thémes des détracteurs des Hauts de Seine sur « le département qui  est le plus riche de France. Il reporte chaque année un excédent budgétaire d’un demi-milliard d’euros, soit 30% de son budget de fonctionnement, qui depuis plusieurs années n’est pas utilisé pour les habitants. C’est aussi le plus inégalitaire. Et depuis un an, la Covid-19 a amplifié certaines fragilités et augmenté les besoins d’accompagnement. Ce demi-milliard révèle un manque d’ambition en matière sociale, d’innovation économique et environnementale. Plus que jamais le Département doit savoir répondre et consacrer ses moyens pour améliorer le quotidien de ses habitants» affirment ils 

    A Vanves, ils insistent sur plusieurs points : La Réouverture quotidienne du centre de Protection Maternelle et Infantile (PMI) qui n'est accessible que quelques demi-journées par semaine faisant craindre sa fermeture définitive au détriment de la santé des nouveaux nés. Le développement d'une alimentation saine et équilibrée dans les collèges et en circuits courts grâce au renouvellement des prestataires prévues en 2022. La création de nouvelles pistes cyclables sur les routes départementales avenue de la Paix et Charles-de-Gaulle. Enfin, favoriser le maintien à domicile de nos aînés. «Nous agirons pour les habitants les plus fragiles, pour accompagner chacun à chaque âge de la vie, rendre les actions de solidarité du Conseil départemental ambitieuses et accessibles à tous, pour améliorer l'accès au logement à loyer abordable dans nos villes et lancer un grand plan de rénovation énergétique, pour lutter contre les violences sexistes et pour promouvoir l'égalité femme/homme au quotidien et à tous les âges de la vie»

  • CANTON DE VANVES/CLAMART : LA DROITE CHEZ ELLE

    Qu’est-ce qui pourrait bien changer la donne dans ce canton de Vanves auquel un nouveau découpage l’a rattaché à Clamart pour les élections départementales de 2016 avec le binôme Isabelle Debré qui ne se représente pas préférant se consacrer à son association l’Enfant Bleu vu les événements que la France vit depuis le début 2020, et Jean Didier Berger maire de Clamart qui préfère retourner à la Région tout en étant suppléant de l’un deux binomes, Yves Coscas maire adjoint dans son  équipe municipale, Sandrine Bourg ayant pour suppléante, Xavière Martin, toutes deux Maires Adjointes de Bernard Gauducheau qui préside le comité de soutien.

    Pourtant ce canton n’a pas toujours été à droite dans un département qui l’a été depuis sa création avec la réforme de la région parisienne en 1964 et des 8 Départements franciliens : André Roche (UDR), vice président de 1967 à 1980, Roger Aveneau (UDF) de 1980 grâce à une élection partielle, jusqu’à 1998, Bernard Gauducheau (UDF) de 1998 à 2004, élu alors qu’il était dans l’opposition municipale,  Guy Janvier (PS) de 2002 à 2015 qui a pris sa revanche après avoir été battu à la marie qu’il avait dirigée de 1995 à 2001, Isabelle Debré (UMP) de 2015 à 2021. Mais cette fois-ci, avec un renouvellement complet au détriment des gaullistes qui se partageaient la ville et le canton dans le cadre d’un accord politique avec les centristes, la majorité départementale présente et soutien ses deux candidats Sandrine Bourg, adjointe à la solidarité à Vanves, Yves Coscas adjoint au logement à Clamart qui affirment : «Comme  nos prédécesseurs, au sein de la majorité départementale, nous agirons efficacement pour la défense des clamartois et des vanvéens» puis «Nous sommes les seuls  à être soutenus par les maires élus des deux villes du canton, à exercer des responsabilités au sein de ses communes, et donc à connaitre et à défendre les projets que les majorité des deux communes initient, à être soutenus par la majorité départementale… »  expliquent ils dans un tract qui présentent les réalisations lors du mandat précédent, à  Vanves grâce à Isabelle Debré (Pôle social départemental rue Mary Besseyre, réhabilitation de la tribune du PMS André Roche et des nouvelles installations, la rénovation des axes routier composés des avenues Pasteur, Martinie, Jézéquel), avec des projets qui  bénéficieront de subventions du département : La médiathéque, la rénovation des rues Marcheron/Larmeroux, la rénovation des infrastructures sportives du lycée Michelet

    Aux yeux de ce binôme LR/UDI, qui mène une campagne somme toute classique, sans artifice, « alors que la situation sanitaire reste incertaine, les enjeux du département pour les années à venir se dessinent de manière claire : mener une politique sociale volontariste et de proximité pour ceux qui ont été touchés de plein fouet par la crise et répondre aux nouvelles exigences en matière de santé publique et de développement durable» expliquaient ils dans leur lettre de candidature. Tout en assurant : «En tant qu’adjoints au Maire au sein des majorités municipales que vous avez élues en juin dernier, pleinement investis depuis de nombreuses années dans nos villes respectives, vous pourrez compter sur nous pour être des conseillers départementaux actifs et efficaces, à l’écoute et proches de vous. Nous soutiendrons la politique menée par nos Maires et travaillerons avec eux main dans la main pour améliorer votre quotidien». Avec cela, les vanvéens peuvent dormir tranquille et rassurés

  • LE BUS SANTE FEMMES FAIT SA PREMIERE ETAPE DE SA TOURNEE 2021 A VANVES

    Le bus Santé Femmes est devenu un dispositif incontournable en prévention santé et conseils de vie notamment pendant la crise de la Covid-19  pour toutes les femmes isolées des Hauts-de-Seine et des Yvelines.  L'Institut des Hauts-de-Seine, avec le soutien des deux Départements poursuit son action de terrain grâce aux tournées du Bus Santé Femmes qui reprennent durant ces mois de mai et de juin 2021 tout en s'adaptant aux consignes sanitaires avec Vanves pour première étape printanière Vanves devant Audiens (rue Jean Jaurés)

    Dans le contexte sanitaire et social actuel, le Bus Santé Femmes devient un dispositif essentiel très sollicité par les communes urbaines et périurbaines des Hauts-de-Seine et des Yvelines. Il permet d'accompagner les femmes les plus fragiles qui ne se rendent pas dans les structures d'accueil spécifiques pour plusieurs raisons : absence ou méconnaissance des lieux d'accueils, difficulté à obtenir un rendez-vous, obligations personnelles et familiales, vulnérabilités...Sans rendez-vous, de manière anonyme et gratuite, ce Bus Santé vient à la rencontre des femmes sur leurs lieux de vie dans le but de rompre leur solitude, de combler les insuffisances de dépistages et de les soutenir dans leurs démarches juridiques grâce à une équipe de professionnels : un médecin (pour des conseils santé), une infirmière pour effectuer les dépistages essentiels (auditif, visuel, cholestérol, diabète), un psychologue (entretiens individuels), un officier de prévention (prévention des violences faites aux femmes, harcèlement...), un avocat (pour des conseils juridiques) et un travailleur social sur le territoire des Yvelines.

    Une enquête interdépartementale « Sourire de Femmes » a été lancée le 12 Mars dernier par Georges Siffredi, président du CD 92 et Bénédicte de Kerprigent, Directrice générale de l'Institut des Hauts-de-Seine, sur le Bus Santé Femmes au Plessis-Robinson à l'occasion de la semaine départementale des droits des femmes. Cette consultation sera distribuée tout au long de l'année à 2 500 femmes rencontrées sur le Bus Santé Femmes ainsi qu'au sein d'associations qui accompagnent les habitantes des Hauts-de-Seine et des Yvelines. Ce questionnaire,  a pour objectif de mesurer les habitudes de vie quotidienne des femmes habitant les Hauts-de-Seine et les Yvelines, dans les domaines de la vie personnelle, de la santé, de la vie professionnelle, sociale et environnementale, afin d'en dresser un panorama